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Pollutions électromagnétiques artificielles

Les champs électromagnétiques artificiels sont silencieux, inodores et invisibles dans notre environnement mais pourtant ils sont bien réels. Ils sont de plus en plus omniprésents que ce soit à l'intérieur ou à l'extérieur de nos habitations.
Aujourd'hui, de nombreuses études indépendantes (bio-initiative) démontrent les effets nocifs des champs électromagnétiques. On ne peut plus ignorer leur impact sur le vivant, ni la nécessité de se protéger.
Les risques pour la santé liés aux champs électromagnétiques dépendent de plusieurs facteurs : la fréquence d'émission, l'intensité du champs électromagnétique, les ondes pulsées reçues, la durée d'exposition, le moment de l'exposition, la sensibilité individuelle, ...
Les champs électriques et magnétiques basses fréquences
Fréquences comprises entre 1 Hz et 9 KHz (9000 Hz)
Ils existent depuis l’invention de l’électricité 50 Hertz (Hz). Ils concernent les lignes à hautes tension, les transformateurs de quartier, l’ensemble de l’installation électrique domestique, industrielle, agricole et l’ensemble des appareils électriques lorsqu’ils sont branchés.



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Les ondes de hautes fréquences
Fréquences comprises entre 9 KHz et 300 GHz (300 milliards de hertz)
Elles sont globalement liées aux nouvelles technologies qui permettent de communiquer sans fil. Elles concernent la téléphonie mobile (2G, 3G, 4G, 5G), le wifi, le bluetooth, le CPL, le linky, les émetteurs radio FM, les radars, les babyphones, les téléphones sur bases DECT, les respirateurs de nuit, les micro ondes, les box TV, alarmes sans fil, ...





Ondes et santé
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Les symptômes suivants peuvent apparaitre :
Fatigue, insomnie, angoisse, dépression, trouble de la concentration, perte de mémoire, hyperactivité, migraines, acouphènes, troubles cognitifs, rougeur et picotements de la peau, ralentissement du renouvellement cellulaire, arythmies cardiaques, tumeurs cérébrales, accroissement risques de cancers, leucémie, modification de la formule sanguine (taux élevé de lymphocytes), ....
L'exposition aux ondes génère des effets sur les cellules, le système immunitaire et le système nerveux.
Quelles sont les personnes les plus à risques ?
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Les fœtus, les nouveau-nés et les enfants sont extrêmement vulnérables, leur cerveau étant plus petit et leur boîte crânienne plus fine, les ondes le pénètrent bien plus facilement et bien plus profondément que chez un adulte.
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Les personnes âgées car leur réparation cellulaire est plus lente.
Hyper-électrosensibilité
Le corps humain possède un capital limité dans sa capacité de s'adapter aux perturbations électromagnétiques.
Certaines personnes sont devenues électrosensibles après une exposition plus ou moins longue aux ondes électromagnétiques artificielles, même les plus septiques sur la nocivité des ondes.
Les symptômes décrits pour l'électrosensibilité sont reconnus comme réels par l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé).
L'ARTAC (association de Recherche Thérapeutique Anti-Cancéreuse) propose une consultation sur cette pathologie en constante évolution.
Les Normes officielles Françaises
Les normes officielles actuelles en France concernant l'exposition aux ondes électromagnétiques ne protègent pas la population sur le long terme. Elles sont basées uniquement sur les effets thermiques (risques d'effets aigus à court terme) sans reprendre la réalité biologique pour définir des valeurs réalistes de précaution.
La recommandation Allemande de la biologie de l'Habitat (SMB 2012)
Les valeurs seuil sont encore plus faibles que celles du rapport BioInitiative. Elles sont 10 000 fois inférieures à la norme française.
La recommandation bioinitiative
BioInitiative est un groupe de scientifiques internationaux indépendants dont la première contribution publiée en 2007 est le "rapport bioinitiative". Ce rapport démontre les effets sanitaires indésirables voir la dangerosité des ondes électromagnétiques de basses et de hautes fréquences.
Les associations environnementales et les experts indépendants en diagnostic électromagnétique l'utilisent comme une référence scientifique, notamment pour faire appel au principe de précaution.
Un second rapport publié en 2012 passe en revue 1800 études scientifiques qui vient renforcer les convictions sur les risques sanitaires. Ce dernier met particulièrement en évidence les dangers pour les jeunes enfants et pour les femmes enceintes.