Interventions sur Bordeaux / Toulouse / Paris / Sud-Ouest / Région Parisienne
Emilie ALVAREZ - Ingénierie environnementale_ 06.77.21.74.32 / 05.53.94.61.65
Téléphones, WiFi, antennes relais, ordinateurs, appareils électriques, objets connectés, ... sont de plus en plus présents dans notre vie quotidienne, à la maison, au bureau, ...
La pollution électromagnétique existe même si on ne la voit pas, on ne la sent pas.
Les champs électriques et magnétiques basses fréquences
Fréquences comprises entre 1 Hz et 9 KHz (9000 Hz)
Ils existent depuis l’invention de l’électricité 50 Hertz (Hz).
Ils concernent les lignes à hautes tension, les transformateurs de quartier, l’ensemble de l’installation électrique domestique, industrielle, agricole et l’ensemble des appareils électriques lorsqu’ils sont branchés.



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Les ondes de hautes fréquences
Fréquences comprises entre 9 KHz et 300 GHz
(300 milliards de hertz)
Elles sont globalement liées aux nouvelles technologies qui permettent de communiquer sans fil.
Elles concernent la téléphonie mobile (2G, 3G, 4G, 5G), le wifi, le bluetooth, le CPL, le linky, les émetteurs radio FM, les radars, les babyphones, les téléphones sur bases DECT, les respirateurs de nuit, les micro ondes, les box TV, alarmes sans fil, ...





La norme française et les recommandations
sur les pollutions électromagnétiques artificielles
Les Normes officielles Françaises
Les normes officielles actuelles en France concernant l'exposition aux ondes électromagnétiques ne protègent pas la population sur le long terme.
Elles sont basées uniquement sur les effets thermiques (risques d'effets aigus à court terme) sans reprendre la réalité biologique pour définir des valeurs réalistes de précaution.
La recommandation Allemande de la biologie de l'Habitat (SMB 2012)
Les valeurs seuil sont encore plus faibles que celles du rapport BioInitiative.
Elles sont 10 000 fois inférieures à la norme française.
La recommandation bioinitiative
BioInitiative est un groupe de scientifiques internationaux indépendants dont la première contribution publiée en 2007 est le "rapport bioinitiative". Ce rapport démontre les effets sanitaires indésirables voir la dangerosité des ondes électromagnétiques de basses et de hautes fréquences.
Les associations environnementales et les experts indépendants en diagnostic électromagnétique l'utilisent comme une référence scientifique, notamment pour faire appel au principe de précaution.
Un second rapport publié en 2012 passe en revue 1800 études scientifiques qui vient renforcer les convictions sur les risques sanitaires. Ce dernier met particulièrement en évidence les dangers pour les jeunes enfants et pour les femmes enceintes.